Bon, nous avons rapporté quelques photos de Toulouse prises du neuvième étage d'un immeuble au moment de Noël... Une situation privilégiée, en bordure de la Garonne...

Des précisions :

1- sapin de Noël

2- crèche

3 et 4 - Ubu, chat de la maison

5 - en face, passerelle en construction

6 et 7- vues à gauche et à droite

8- palanquée d'oiseaux (non identifiés)

9- cormorans en escadrille

10- goélands sur le fil

11 et 12 - Toulouse by night

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Et bien sûr, une chanson de Nougaro "in situ" : "C'est une Garonne"...

Bon, alors, aux aurores (tout est relatif !), nous démarrons direction le sud, afin de rejoindre la famille à Toulouse, histoire de fêter Noël ensemble... Le blog biloba sera un peu moins garni pendant quelques jours... Aujourd'hui, je vous propose de la "musique classique qui envoie du steack" (sic) avec ce Rondeau extrait des Indes Galantes de J-P. Rameau.

Joyeux Noël à toutes et tous !

Bon, Michèle Bernard, après une période difficile, reprend une grande tournée de concerts à travers tout le pays... (Voir son site pour les détails, par ici : https://www.michelebernard.net/ )

Elle en profite pour sortir un nouveau disque : Miettes dans lequel on retrouve avec plaisir ses thèmes favoris, ses révoltes, son humour et ses petits bonheurs...

Plus, une surprise de taille pour l'avant-dernière chanson de l'album : Une poire pour la soif de vivre ... (Il me semble bien connaître le poète dont il est question ici !...)

Récemment, j'ai proposé à Jean-Pierre Lesieur, le valeureux capitaine de la revue : "Comme en poésie", une carte à légender, comme chaque mois...

Bizarrement, cela m'a fait penser à : "La marine", un poème de Paul Fort, mis en musique par Tonton Georges... Quel poème ! Et quelle musique !

Allez, à votre tour d'avoir l'air dans la tête toute la journée...

Trouvé dans la série "Trésors perdus", une chanson d'Allain Leprest, mise en musique et interprétée par Gérard Pierron... (Je ne connais pas le nom des enfants qui lui donnent la réplique...)

Curieusement, mais "il n'y a pas de hasard" me souffle la voisine, j'ai un poème qui raconte un peu la même chose... Le voici :

LARGE

Parfois
Dans son île
Le jardinier
Dépasse la mesure

Le soir venu
Il s’étonne
D’être au large
Et ne sait plus
S’il bêche encore
Ou s’il rame
Toujours
En rejoignant
La terre

J-C. T.

(Jardins du bout du monde,

éditions Corps Puce)