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26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 03:53


Un petit haïku des familles pour évoquer une scène vécue au marché de la ville voisine, un lundi matin...

(image Internet : biogassendi.ifrance.com)







Marché de Briouze

Un veau pleure après sa mère

                                       Un enfant aussi

               

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commentaires

J
Le boucher qui passait en camion dans les villages dans mon enfance de l'Oise, se nomait Monsieur Quette. Sur les papiers d'emballage, il y avait "Pleure pas grosse bête, tu vas chez Quette". A chaque fois, cela me faisait monter les larmes aux yeux.Quand j'ai obtenu enfin le droit de ne plus du tout manger de viande, on m'a dit, "N'en profite pas pour couper la quéquette".Les adultes sont d'un raffinement!
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J
<br /> Ouaip ! Le recours à la rime ne garantit pas forcément un haut degré de poésie !...<br /> <br /> <br />
Y
Il y avait, dans le village de mon enfance, barrant le trottoir, une réclame en bois représentant un cochon – rose, debout, en larmes – et cette légende : « Pleure pas gros bêta, tu vas à la charcuterie Cœur joli !»
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J
<br /> Je me souviens bis : le boucher de mon enfance s'appelait monsieur Meux ! ...<br /> <br /> <br />