seule vie qui vaille

Balise n° 5 : il repleut un petit peu... Gilles-Jean Guglielmi n'étant pas là, c'est Anne Certain qui lit son poème, lecture saluée par des applaudissements...

En marche

Te suivre et te guider

Pister des traces jamais laissées

De l’inconnu fêter les retrouvailles

Se perdre sur nos sentiers battus

Seule vie qui vaille

La joie d’être vécue

Gilles-Jean GUGLIELMI

(inédit)

(photo : Marinette)

Comments

[Martine]

De l'inconnu fêter les retrouvailles... tout un programme !

[Jean-Claude Touzeil]

Les poètes ne sont pas à un paradoxe près... Les hommes (et les femmes) non plus...

[Anne Certain]

Si l'homme ressemble à ce qu'il écrit, j'aimerais bien connaître Guglielmi.

[Jean-Claude Touzeil]

Cela devrait pouvoir s'arranger : par exemple, l'année prochaine, à Durcet...

[Yves]

S'il est un poème à sa juste place sur le chemin...

[Jean-Claude Touzeil]

C'est juste... Ce qui ne veut pas dire que les autres poèmes ne sont pas à leur place...

[Anne Onim]

Pour dissimuler l'émotion qui m'envahit à la lecture de cet hymne à l'amour source de vie, mon commentaire sera:-Ouais...mais fallait des bottes...et un k-way !

[Jean-Claude Touzeil]

Signalons au passage à nos lecteurs/trices que (est-ce un heureux hasard ?) une usine de fabrication de bottes, installée dans la vallée du Noireau, à trois pas de Durcet, continue à faire de
la résistance à la mondialisation industrielle...
(Réponse au commentaire sponsorisée par les bottes "Le chameau")