ch17 - 8 - le futur des survivants

Balise n° 8 : nous allons nous séparer de la proximité de la Gine pour retrouver un bout de route goudronnée, laquelle monte en direction du bourg. Jean-Louis Rambour ne se fait pas prier pour lire plusieurs fois de suite son poème...

Bonus info : fait chaud... Certain(e)s ont pensé à cheminer avec une bouteille d'eau. D'autres suggèrent poliment l'implantation d'une buvette temporaire à mi-parcours, c'est-à-dire juste à côté de la balise n° 8...

1- scan / 2- photo : mathilde / 3- photo : patrick / 4- photo : frédéric / 5- photo : yves (b.)

Comments

[Yves]

On ne le dirait pas, mais les deux derniers vers du poème nous remettent sur un chemin optimiste.

[Topa]

"Le poète doit être un professeur d'espérance." (Jean Giono)

[Minik do]

Il fait chaud et le poème est beau..

[Topa]

Merci pour Jean-Louis...

[Marijo]

Je suis pour une buvette avec poiré à chaque balise !

[Topa]

Ce n'est pas raisonnable !...

[thé âche]

souffle et lyrisme on imagine dans le paysage, et pourquoi une seule buvette ?

[Topa]

Figure-toi qu'il y a déjà pas mal de "petites choses" à s'occuper quand on organise notre "Printemps" !...

[1671137.fr]

LE SABLIER

Le souffleur (d’autres diront : le vent)
Lui serre la ceinture.
Mais toujours le temps passe
Par le trou du temps ;
Ce sable
Dont je suis le centre.


Jean-Louis Rambour

[Topa]

Cher Cristophe, tu es passé par "le trou du temps" !...
En fait, je prépare aujourd'hui ce billet (inachevé) pour le 21 avril !...